J’étais une belle fleur qui plait
Mais parmi tant d’autres
Et je dansais
Pour me démarquer des roses
Très belle et bien vivante
Je dansais l’ivresse
À l’âme battante
je donnais mon coeur plein de tendresse
Naïve et trop soumise,
Mes pétales flétrirent
Et je m’enfuis
Où je fus seule fleur qui luit
Dans un champs plein de bonté
Bien enracinée
Les hommes vinrent,
Mais c’est bien ma liberté mon prince.
Mélanie Marie-Claude Fortin
Très beau texte. Il est rare de parler du vrai célibat de nos jours. J’ai remarqué une petite coquille : je m’enfuiE.
Merci pour ces mots apaisants et profondément poétiques.
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Merci pour ton commentaire et je vais faire la correction!
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